HISTOIRE | Erased est un manga qui m'a intrigué dés son annonce, malheureusement je l'ai laissé en rayon de nombreuses fois malgré mon envie de le découvrir (allez savoir pourquoi ?). Finalement, c'est grâce à la sortie de l'adaptation en anime japonais que j'ai découvert le potentiel du manga ! Je suis immédiatement tombée sous le charme de ce scénario travaillé et intriguant / en plus la façon de faire est nouvelle et l'auteur maîtrise son sujet, bref tout était là  pour me plaire...

On se retrouve donc à suivre le héros, Satoru Fujinuma, celui-ci est un jeune homme qui mène une vie simple et sans grande réussite (aussi bien dans le travail que dans sa vie sentimentale). Il est cependant doté d'un don qui lui permet de revenir un temps en arrière lorsqu'il est confronté à un accident ou une catastrophe. Chaque fois que son don s'enclenche, il s'évertue à trouver ce qui cloche affin de corriger les choses. Lors d'un retour en arrière pendant son travail, Satoru se retrouve à sauver un enfant d'un accident de camion, malheureusement il en paie le prix en se retrouvant lui même dans un accident de voiture... Pendant ses soins à l’hôpital, des souvenirs de son passé qu'il avait enfouis en lui resurgissent et le pousse à se questionner sur son passé. En effet, quand il était enfant, Satoru a vécu l'expérience traumatisante de voir 3 de ses camarades se faire assassiner. Son don n'est peut-être pas là pour rien ? Peut-il changer les choses petit à petit avec des simples retours en arrière ?

Le volume nous présente donc le héros Satoru, il est assez banal sur le coup et peu intéressé par le monde qui l'entoure. Il travaille en tant que livreur pour une petite pizzeria et fréquente de ce fait une autre des employées nommé Airi, celle-ci est étrangement proche de lui malgré la distance qu'il met entre lui et les autres. Elle est celle qui va se charger de son cas à l'hôpital après l'accident de voiture. Si Satoru est plutôt froid, Airi est assez sympathique et ajoute un peu de fraîcheur à ce début de série. On découvre assez vite par la suite la mère de Satoru. Celle-ci a appris l'accident de son fils et a souhaité se déplacer pour le voir et pouvoir l'aider, leur relation est assez tendue mais Satoru accepte tout de même sa présence chez lui. En parallèle, il se remémore au fur et à mesure des choses son passé grâce à ses nombreux retours en arrières des derniers jours : On découvre la petite Kayo qui est l'une des victimes de l'époque, Yûki l'assassin présumé et aussi accessoirement un ami du héros, et aussi tous les amis et le contexte de l'enfance de Satoru. Les éléments sont amenés au compte goutte et nous laissent de se fait en suspens, mais aussi toujours aux aguets de trouver plus d'indices.

Le manga a un très bon rythme, ni rapide ni lent, avec une bonne dose de suspens qui nous laisse entrevoir la suite sans nous en dire trop. Chaque passage alterne présent et flashback en nous faisant découvrir l'univers assez sombre du passé de Satoru. Le ton du volume 1 est globalement sérieux, même si on a droit à quelques passages plus simples avec une touche d'humour. Le tome 1 nous dévoile assez bien l'idée de base et nous fait finir sur un cliffhanger qui ne nous laisse pas le choix que de continuer à nous immerger un peu plus dans la vie de Satoru. Je dois dire que le final m'a laissé sans voix ! Entre un meurtre inattendu et le retour en arrière de Satoru plus important que d'habitude, croyez-moi que vous n'aurez envie que d'une chose à la fin de votre lecture : lire le volume 2 !

DESSINS | Concernant les dessins, j'ai été assez déstabilisée au début par le style très spécial de Kei Sanbe. En fait c'est un style maîtrisé, mais globalement, la façon de faire les visages m'a perturbée... Bon après avoir été plongée dans la lecture, je peux vous assurer que l’appréhension du graphisme a vite été oubliée ! J'ai beaucoup apprécié le travail sur les ambiances et expressions des personnages, le tout renforce assez bien le suspens et l'inconnu que nous vend le manga.

Pour ce qui est des illustrations, il y en a finalement très peu... On compte seulement une illustration d'ouverture et celle de couverture, elles sont assez sobres et même si elles sont en couleur, elles restent ternes et froides. Ça correspond finalement assez bien au ton du manga !

ÉDITION | Ki-oon nous propose ici un manga sans prétention : Le visuel du volume est assez sobre et passe-partout, parfait pour ce type d'histoire même si je doute pour le coup qu'un public non connaisseur se retrouve à feuilleter le volume. Le travail réalisé sur l'édition reste super chouette, très fidèle à l'édition originale avec en bonus quatre pages couleurs en ouverture et une très bonne qualité de pages et de sur-couverture (comme d'habitude). Je note aussi un petit plus sympathique au niveau du croquis de l'illustration de couverture en dessous de la sur-couverture avec un petit changement symbolique vis à vis de l'histoire !

En bref on se retrouve avec un très bon seinen à suspens qui met habilement en place son histoire avec un très bon thème qu'est le retour dans le temps, et nous plonge définitivement dans son univers avec son cliffhanger final. Le fond est sérieux et nous promet de l'être encore plus par la suite avec certains détails disséminés ça et là. Côté dessin, vous pourrez être déstabilisé au début car le style est particulier, mais sachez que l'histoire prend le dessus rapidement et vous fait apprécier le tout sans soucis ! Erased est définitivement un manga à découvrir !

J'avais décroché du manga Switch Girl au bout d'une quinzaine de volumes, en partit à cause du côté redondant de l'histoire, j'avais donc quelques craintes concernant Ugly Princess qui est de la même auteure. Finalement je me suis décidée à le lire afin de découvrir cette autre vision de Natsumi Aida sur le physique et la perception générale. J'ai eu l'occasion de l'avoir un peu en avance au Toulouse Game Show Springbreak 2016, je vous partage donc mon avis en vous annonçant d'ores déjà que j'ai apprécié ma lecture !

Concernant le scénario, on se retrouve à suivre une héroïne encore au collège se nommant Mito Meguro. Celle-ci a un physique désavantageux et un nom qui ne luis correspond pas, Mito est donc bourrée de complexes et s'interdit toute romance par peur de l'autre. Son seul passe temps est de jouer à un jeu de drague sur console en compagnie de ces deux amies. Un jour, elle se retrouve dans une mauvaise posture et est gentiment aidée par Kunimatsu, un garçon de sa classe. Cette scène est un déclic pour elle, elle veux vivre une romance (avec Kunimatsu si possible), elle souhaite changer et aussi s'accepter sans se fier au regard des autres ! La route est longue et semée d'embûches, mais Mito est pleine de courage et de bonne volonté !

Pour le coup, en commençant ma lecture j'ai cru être tombée sur un manga classique et cliché ! J'ai eu peur que Natsumi Aida tombe dans la facilité en nous sortant directement le coup de la romance entre la moche et le beau... Finalement il n'en est rien, l'héroïne sait qu'elle n'a pas un physique avantageux, elle tente du coup de se remettre en question et de s'accepter / elle a aussi une phase ou elle se complaît dans ce qu'elle est et ne souhaite pour rien au monde passer du côté des "pimbêches" qui ne pensent qu'à l'amour. Le premier volume est surtout centré sur sa vision d'elle même en fait, la romance est au second plan et n'est présente que pour mettre en valeur la remise en question de Mito. Le manga est à la fois sérieux dans son propos et aussi complétement barré par son humour décomplexé. Natsumi Aida n'a pas de limite dans son humour et c'est vraiment frais et drôle à lire ici (elle détourne habilement certains clichés), dans Switch Girl c'est un des éléments qui m'a perdu, j'espère donc qu'on restera sur un bon dosage pour la suite d'Ugly Princess ! Pour le moment ça fonctionne et je me suis prise à rire de la folie de Mito, elle se fait des films tout en assumant, elle est souvent dans son petit monde. J'apprécie le ton de l'histoire, l'équilibre qu'il y a entre sérieux et comédie me plait. Maintenant j'ai bien envie de voir comment le personnage de Kunimatsu va évoluer dans la suite, pour le moment il est assez présent, mais ces interactions avec Mito ne sont pas trèp prononcées...

Côté dessin, j'ai apprécié le style mais j'avoue ne pas être la plus grande fan du trait de Natsumi Aida. Je le trouve assez commun en fait : plutôt pauvre en décors, mais malgré tout maîtrisé pour le genre shojo humoristique. Le travail sur les visages et les expressions faciales m'a bien plu en revanche, j'ai retrouvé un petit côté WTF! à la Great Teacher Onizuka ! J'ai eu un peu de mal avec la bouille de Mito au début, puis finalement je m'y suis adaptée tout simplement / mais bon, comme quoi on a quand même beaucoup de préjugé sur ce que doit être une héroïne ! (je me demande d'ailleurs si l'auteure n'a pas eu du mal à faire passer le design de son héroïne au lancement du projet...) Côté illustration c'est sympa, assez simple en soi !

Passons maintenant à l'édition d'Akata ! Pour ce manga, l'éditeur à prit partit de sortir deux éditions : Une simple et une collector (1€ plus chère). Pour ma part je ne parlerais que de la collector, puisque c'est celle que j'ai prit ! Le volume est de taille classique, il comporte des pages couleurs (6p), une couverture alternative avec vernis sélectif (vous savez, c'est le brillant qui fait ressortir certains éléments sur une couverture) et quelques bonus sympathiques (notamment l'échange assez drôle avec Natsumi Aida). Le volume est à la fois simple, en ayant des petits plus agréable (pour pas cher), et le tout en gardant un visuel semblable à l'édition simple pour ne pas dénaturer la collection une fois la suite sortie. Bref c'est un joli petit volume shojo à découvrir !

En conclusion je vous conseille UGLY PRINCESS si vous aimez les shojo qui cassent les codes du genre : entre une romance légère, un humour décapant et un propos sur le physique qui est dans l'air du temps, ce manga ne pourra que vous faire passer un bon moment. Personnellement j'ai apprécié ma lecture et je lirais la suite avec plaisir !

Ma note • 15/20

Aujourd'hui je vous parle d'un manga sortit récemment chez Komikku : Gokicha ! Je l'avoue, j'étais vraiment intriguée à son annonce par l'idée derrière le scénario ~ Et pour cause : un manga humoristique où l'héroïne n'est autre qu'une blatte, ce n'est pas tous les jours qu'on voit ça. Au final, la lecture du premier volume a été une très bonne surprise !

Le scénario nous raconte les aventures de Gokicha, une jeune blatte (cafard) qui aimerait beaucoup se lier d'amitié avec les humains, malheureusement pour elle, elle est le type d'insecte le plus détesté de tous. On la suit donc dans ses efforts pour conquérir l'homme, même si à chaque fois elle subit de cuisants échecs (elle se prend des coups de bombe insecticide ou manque de peu de se faire écraser)... Tour à tour, entre extérieur et intérieur, elle suit le monde humain pour trouver un compagnon de jeu qui saura l'aimer malgré sa nature (d'ailleurs en parlant de nature, contrairement aux idées reçues, Gokicha est une blatte qui ne supporte pas le désordre et les déchets ! haha). Le manga est conçu sous forme de "Yonkoma", pas de chapitre mais une suite de strips en quatre cases où on retrouve exclusivement Gokicha / ainsi qu'un bon nombre d'inconnus humain ou d'animaux qui interagissent avec la petite blatte. La lecture est rapide, adorable et drôle. C'est assez surprenant de suivre l'histoire d'une blatte, mais finalement on s'y fait facilement et on se prend à souhaiter le mieux pour le petit insecte. D'ailleurs la suite m'intrigue avec l'arrivée d'un autre petit insecte semblable à Gokicha qui arrive dans son quotidien !

Côté graphisme on a droit à une manga de qualité ! J'ai été surprise par la maîtrise dans le trait malgré qu'il s'agisse d'un manga sous forme de strips. Le trait est fin et détaillé, c'est proportionné, on a des décors (pas impressionnants, mais jolis et identifiables) et la mise en noir vraiment bien faite (de même que la mise en couleur au début du volume). Personnellement j'ai été conquise par le style, Gokicha m'a séduite et j'en redemande !

Pour finir sur l'édition, Komikku nous propose un volume assez sympa avec : une bonne qualité de page intérieure, un tutoriel pour le sens de lecture (bonne idée pour les plus jeunes) et des pages couleurs en début de volume. Le volume n'a pas de sur-couverture à rabat et est cartonnée, l'édition ressemble assez à la qualité des volumes de la collection Kids de Ki-oon édition.

Au final, Gokicha volume 1 s'est révélé une très chouette lecture ! C'est un manga humoristique drôle et attachant. Il est construit sous forme de strips qui sont très simples à lire. Le volume plaira aussi bien aux petits qu'au grands grâce à son côté léger et adorable. Bref n'hésitez pas à découvrir l'histoire de la petite Gokicha !

Ma note • 14/20

Parlons bête aujourd'hui, et plus précisément du manga félin Choubi-choubi édité chez Soleil manga ! En général j’hésite toujours à prendre un manga traitant exclusivement d'animaux, j'ai toujours peur que la lecture tourne en rond rapidement et que se soit peu original. Pour ce manga ci, c'est l'auteure qui m'a décidée à tenter cette nouvelle série : En effet il s'agit de la brillante auteure de Chii ~ une vie de chat, Konami Kanata. Elle m'avait conquise avec sa série principale et j'avais bien envie de voir ce qu'elle pouvait faire de plus sur ces petites bêtes ! Finalement après lecture j'ai aimé ce premier volume mais je n'ai rien trouvé de nouveau, le traitement est différent de Chii sans pour autant nous donner un plus malheureusement...

Le scénario est simple, il nous montre à la façon d'un gag manga, des scènes de vie amusantes de la jeune minette Choubi-choubi qui habite chez une femme japonaise assez âgée. Les chapitres sont très courts (~ 6 pages), rapide à lire et nous montre une anecdote différente à chaque fois (qui se passe en général dans la maison de la grand mère) : Les premières découvertes de Choubi-choubi, son premier noël, ses premières bêtises, etc... Rien de nouveau par rapport à Chii ~ Une vie de chat finalement (mis à part qu'ici, le chat ne parle pas / on voit l'évolution de Choubi-choubi à travers nos yeux humain), malgré tout, ça reste attendrissant à lire. Ce petit matou est adorable et la façon dont la mamie tente de gérer son nouveau compagnon pas si facile est vraiment chouette à suivre ! Les gags sont simples, mais efficaces et drôles. C'est le genre de manga dont on peut lire un volume sans lire les autres, l'histoire ne se suivant pas forcément c'est très simple à comprendre. Parfait pour les enfants donc / Les plus grands pourront aussi y trouver leur compte si ils apprécient les manga léger et traitant de boules de poils ! Une chose est sûre en tout cas, Konami Kanata sait définitivement comment nous parler des chats !

Côté graphismes, c'est assez égal à Chii finalement : Un trait simple et peu détaillé, peu de décors, finalement juste l'essentiel pour apprécier l'humour du manga. Contrairement à la série mère, Choubi-choubi est intégralement en noir & blanc. Ce n'est pas foncièrement gênant car les valeurs de noir et les trames sont présentes juste comme il faut. Le volume comprend très peu d'illustrations par contre (mis à part la couverture et l'ouverture de volume, il n'y en a pas plus).

Pour finir sur l'édition, je ne pensais pas que Soleil obtiendrait la licence sur cette nouvelle série de Konami Kanata, Chii étant chez Glénat. En tout cas l'éditeur a fait un joli travail ici, l'édition globale est vraiment bien et on a le droit à une sympathique couverture, ainsi que deux pages couleurs d'ouverture. Le manga est bien mis en valeur et c'est ce qui compte !

En conclusion je dirais que Choubi-choubi n'est pas un indispensable, surtout si vous lisez déjà l'autre manga de l'auteure :  CHII. Vous n'y trouverez rien de nouveau concernant les chats au final. En revanche, la lecture est facile et agréable, c'est mignon et drôle ! Vous passerez un agréable moment de lecture facile et accessible à tout âge. Pour ma part j'ai aimé et je tenterai probablement le second et dernier volume !

Ma note • 14/20

Parlons aujourd'hui du manga d'horreur ANOTHER qui est sortit en début d'année 2015 aux éditions Pika ! Je connaissais la licence de nom avant son annonce en manga, mais c'est par ce medium que j'ai décidé de découvrir l'histoire. Finalement après lecture je dois dire que je suis intriguée, j'ai bien envie de savoir ce qui se cache derrière tous ces mystères !

Tout d'abord je vais vous parler du scénario : On se retrouve à suivre Kôichi, un jeune qui débarque au collège Yomiyama-Kita après avoir été transféré pour des raisons de santé. Pensant retrouver une vie normale dans son nouveau collège, Kôichi se rend vite compte que les choses ne tournent pas rond... Entre les élèves et tous les gens liés de près ou de loin au collège qui ont l'air de cacher un secret, le collège en lui-même qui parait sinistre et l'apparition constante d'une jeune fille qui a pourtant l'air absente aux yeux de tous... Bref l'atmosphère de l'histoire et lourde et le lecteur est prit dans un tourbillon glauque plein de suspens. J'ai apprécié la façon de faire de l'artiste pour nous faire sombrer dans cette histoire d'horreur, ce n'est pas mon genre de prédilection en général mais j'ai trouvé la chose bien faite ici ! Les personnages sont aussi assez intriguants, malheureusement j'ai trouvé qu'ils n'avaient pas assez d'impact. Ils manquent de profondeur et pour le coup ne donnent pas assez d'attaches au lecteur... Seule Misaki ma plu et m'a donné envie d'en savoir plus à son sujet, tout le mystère qui tourne autour d'elle est vraiment intriguant ! Le volume 1 d'Another est un volume d'introduction, il faut lire le 2 pour voir vraiment l'action et la noirceur de l'histoire débarquer !

Les dessins quant à eux sont plutôt bons. Ils sont attrayants et bien réalisés, tout en faisant bien passer un côté mystérieux et noir.  J'ai apprécié le style, en revanche je dirais juste que tout est peut être un peu trop lisses à mon goût sur certaines cases... Certaines expressions du héros sont aussi assez moyennes, je n'ai pas réussi à me mettre à sa place ou à éprouver quelque chose en regardant le visuel de celui-ci...

Côté édition, Pika a fait un travail correct, les pages sont agréables à la lecture et le travail sur la couverture plutôt sympa (assez similaire à l'édition japonaise). Le tout reste assez simple je trouve et je doute que le volume tienne longtemps face au temps, néanmoins c'est pas mal. Point positif : On trouve à l’intérieur du volume des pages d'ouverture en couleur (6 pages en comptant l'illustration) !

En bref j'ai bien envie de découvrir la suite, surtout après une fin de volume avec un si gros cliffhanger ! Par contre, en y réfléchissant je ne pense pas que ce manga me restera en mémoire. C'est le genre de lecture sympathique sur le coup, mais qui ne reste pas en tête sur le long terme... Dans tous les cas c'est une série qui plaira sans doute aux personnes aimant les séries courtes mêlant suspens et horreur/meurtre.

Ma note • 13/20